Le printemps de la photographie de sport ! 🏟️⚽
Enfin presque. Car le printemps, sur la boutique.so, c'est tous les mois ou presque avec plein de nouveautés et de photographies toutes fraîches.
Mais pas que. Vous l'avez vu depuis quelques temps, on a élargi nos rayons avec des magazines, des livres, des puzzles, des calendriers... mais aussi des vieux maillots mythiques de l'histoire du football produits en accord avec les clubs par des marques spécialisées dans les répliques.
Donc avant d'en venir aux quatre nouveaux "tableaux de maître" comprenant des clichés de Maradona face au PSG, de Marco Verratti face au Barça, d'enfants jouant à Prague du temps du rideau de fer ou d'Aimé Jacquet période Girondins de Bordeaux, voici 3 des meilleurs coffrets maillots.
On commence avec la réplique du maillot de Platoche, aka "il Francese". En rejoignant la Juve à l’été 82, Michel Platini ne le sait pas encore, mais il va le rendre le nouveau maillot bianconero - floqué du sponsor Ariston – mythique à tout jamais. Porté entre 1982 et 1989, cette tunique est éternellement associée à la gargantuesque saison 84/85 du n°10 français : une C1 remportée face à Liverpool, un troisième Ballon d’Or consécutif et un troisième titre de Meilleur buteur de Serie A.


Même pays. L'Italie. Même championnat. Le Calcio. Ville différente. Rome. Mais joueur tout aussi mythique à l'avoir porté : Francesco Totti, lors de la saison 1998-99. Sous la direction de l'entraîneur Zdeněk Zeman, l'équipe romaine était reconnue pour son style offensif et audacieux, et comptait pour ce faire sur des joueurs comme Aldair, Vincenzo Montella, Delvecchio et Cafu. On le propose avec notre magazine sur les années 90. 

La Main de Dieu ? Le but du siècle face aux Anglais ? C'est avec ce maillot que Diego Armando Maradona propulse lors du quart de finale son pays l'Argentine sur la route du titre mondial. Celui-ci n'est qu'une réplique, cela s'entend, mais il n'en reste pas moins tout aussi iconique avec son bleu azur. Avec, nous vous offrons un numéro So Foot mystère de la collection de la rédaction (remontant jusqu'à 2010).


Dernière pépite de la collection, le maillot Hechter du PSG. En 1973, le dirigeant se balade dans la rue quand il tombe sur une Ford Mustang. Et là, ça fait tilt. Il transpose la bande centrale sur le capot sur le maillot qu’il dessine pour Paris. Bingo ! Deux ans plus tard, un magazine italien élit la tunique parisienne plus belle d’Europe. Et sur le terrain, elle commence à donner des ailes aux joueurs. Saison 1980-81, après avoir arboré un col V, le maillot présente un col pelle à tarte blanc. C’est le maillot des Dahleb, Rocheteau et du tout jeune Luis Fernandez. Celui qui pose les bases d’un Paris vainqueur. De coupe, puis du championnat. Le cadeau à faire à tous les supporters de Paris débarqués après l’arrivée de QSI. D’autant que la tunique années 80 est accompagnée d'1 magazine So Foot collector de l'histoire récente de Paris.


Les photos :
Phase de groupes de la Ligue des Champions. Paris affronte le grand FC Barcelone. L'ambiance est électrique. Paris montre les crocs. À la 26e minute, sur un corner frappé par Motta, David Luiz dévie le ballon. Marco Verratti, oublié au second poteau, surgit de nulle part. Il devance Ter Stegen et catapulte le ballon de la tête dans les filets. Sur la photo, on voit le "petit hibou" courir vers les tribunes les bras grands ouverts, le visage rempli de joie et d’adrénaline. Forcément, il inscrit ici un de ses rares buts avec le PSG (11 en 11 années au club). Sûrement le plus important car en coupe d'Europe. Et contre le grand Barça. Mais surtout son seul et unique but de... la tête. Lui le petit milieu de terrain d'1m65. Ce soir-là, Paris s’imposera 3-2, dans un match devenu légendaire pour les supporters du club de la capitale.

Paris - FC Barcelone. Décidément. Le 13 novembre 1982. Le Paris perd ce jour-là, 4 buts à 1. Qu'importe, il s'agit d'un amical. Et pas n'importe lequel puisqu'en face se présente ce jour-là rien de moins que Diego Armando Maradona. Joueur devenu icône. Au duel avec... Pascal Zaremba, ancien libéro et milieu défensif passé notamment par Valenciennes, Nantes, le Havre ou l'AS Nancy Lorraine. Un joueur classé 858ème de notre Top 1000 des meilleurs joueurs de l'histoire du championnat de France, tout de même. Vous en connaissez beaucoup vous des joueurs qui peuvent prétendre avoir joué contre Diego ?

Un terrain vague à la sortie de l’hiver. A Prague. Une bande de gamins qui rejoue la Coupe du monde. Le sol est boueux, les poteaux de but sont faits de briques, de bancs, de pulls... Assis sur un banc de fortune, bonnets vissés sur la tête, trois enfants observent le match. Peut-être attendent-ils leur tour. Peut-être rejouent-ils l’action dans leur tête. Un ballon trop lourd, des habits trop grands, un froid de canard. Peut-être sont-ce des petites filles admiratives. Ou juste amères de ne pas être autorisées à jouer. Le cliché transpire en tout cas l’enfance, brute, libre, insouciante. À cet instant, peu importe que le Rideau de fer soit encore bien en place. Sur ce terrain, tout est possible. Même marquer le but de la victoire

En 1981, Aimé Jacquet n'est pas encore l'entraîneur à succès de l'équipe de France. Celui à jamais le premier. Non, en 1981, "Mémé" est à la tête des Girondins de Bordeaux. Il pose les bases d’une équipe qui dominera le football français avec trois titres de champion de France. En 1984. En 1985. Et en 1987. Une équipe rigoureuse, organisée, collective. Sur cette photo, il ne dirige pas. Il installe. Il prépare. Ou plutôt il pose au centre du Haillan avec son matériel d'entraînement. Plutôt rudimentaire avec nos yeux de 2025. Une corde. Des plots de chantier. Des bâtons. Et un programme d'entraînement bien clair dans la tête. Le football, pour Jacquet, c’est du travail, de la méthode, de l’humilité. Et cette image résume assez bien la chose.

Le t-shirt :
Pas encore de nouveau t-shirt ce mois-ci (il arrivera mi-mai) alors mettons un peu de lumière sur notre best-seller (au cas où vous seriez passé à coté) : le Yazid Zidane. Parfait pour attaquer le printemps et viser l'été qui pointe, n'est ce pas ?

Toutes ces photos sont en édition limitée.
Entre 15 et 30 exemplaires par taille, et par support (papier photo, dibond, plexi)