Nos résolutions photos pour 2025 !

On est pas sur du 4K mais presque. Vous l'avez ? Jean-Blaguin, humoriste à votre service... 

Blague à part, on vous a concocté une sélection élargie de 10 photographies de football (au lieu de 4 ou 5) pour fêter cette nouvelle année. Qu'on va vous présenter en long, en large et en travers juste après. Avec un petit mot pour chaque et le cliché dans un cadre bien entendu.

Mais auparavant, quelques lignes pour vous annoncer la sortie prochaine le 29 janvier, enfin!, de notre magazine annuel de rugby Tampon !

 Avec un menu XXL aussi large qu’un maillot d’Olivier Merle :  

  • Rencontre avec Philippe Saint-André

  • 48h avec le président le plus dingue de France
  • La légende du magnifique fiasco de Narbonne

- Retrouvailles avec Neil Jenkins

- Un portrait de l'autre meilleur 9 du monde : Baptiste Couilloud. 

- et moultes autres super papiers...

 

Pour les plus impatients, on a mis en précommande 100 exemplaires sur la boutique pour le recevoir en début-milieu de semaine prochaine avant sa sortie en kiosque !. Sachant que l'envoi est gratuit. Oui gratuit.

 

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Les photos : 

Le regard vers le ciel de Saint-Etienne, l’esprit en pleine réflexion, comme un boxeur avant son combat. Des combats, Louis Nicollin en a eus, que ce soit avec son entreprise de ramassage de déchets ou sa présidence au club du Montpellier HSC. Des vies, il en aura vécues. Avec beaucoup de moments de joie, de tristesse, ainsi que de déceptions. Président durant plus de 40 ans, Loulou, comme tout le monde l’appelait, aura marqué son passage par un titre de champion de France, une Coupe de la Ligue, une Coupe de France en 1990 (le cliché a justement été pris juste avant la demi-finale victorieuse à Saint-Etienne le 24 mai justement), ainsi que plusieurs passages sur la scène européenne. Il nous quittera le 29 juin 2017, et laissera une ville, un club, une équipe, voire un pays dans la tristesse et la douleur d’un homme qui n'aura jamais triché sur sa personnalité. RIP Loulou. 

 

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Une équipe de légendes, un duel au sommet, une finale pour l’histoire. Le 16 juin 1979, la capitale accueille la finale de Coupe de France, opposant les Nantais en jaune et vert à la féroce équipe d’Auxerre. Après une demi-finale face à l’AS Angoulême, battue au cumulé 7-3, les Canaris avancent tranquillement mais sûrement face à l’AJ Auxerre, qui s’est plus difficilement faufilée jusqu’à la finale. Devant plus de 45 000 spectateurs, le combat sera dur. Malgré un but en première mi-temps, les Nantais emmenés par leur capitaine Henri Michel (à droite sur la photo) ne pourront rien faire face à l’équipe de Guy Roux, et l’AJ Auxerre égalisera en deuxième mi-temps. Après 90 minutes, le match ne veut toujours pas se terminer, et se débloquera finalement en prolongations avec pas moins de 3 buts côté Nantais, par Pécout (x2) et Muller, leur permettant de soulever leur première Coupe de France de leur histoire. Suivront trois autres en 1999, 2000 et 2022. 

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Toutes les compétitions ont leurs héros et leurs équipes. Et si en Ligue des champions, le Real Madrid de Modric, le Barça de Messi ou le Bayern Munich de Ribéry ont dominé ces dernières années, la Coupe des clubs champions européens (ancien nom de la Ligue des champions) a connu en son temps, au début et au mitan des années 60, l’AC Milan de Cesare Maldini et le Benfica Lisbonne d’Eusébio. Les deux équipes se sont même affrontées lors d’une finale épique, au stade Wembley, en 1963. L’AC Milan gagnera 2-1, grâce à un doublé de José Altafini. Cette victoire des Rossoneri face au double champion européen (1961, 1962), a construit encore un peu plus la légende du grand Milan, tandis que Benfica, tout proche d’obtenir son troisième titre d'affilée, est aujourd’hui le club le plus titré du Portugal

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Portugal encore, Benfica toujours. Avec cette photographie au cadrage et à la composition soignée avec les joueurs au premier plan (congratulant leur coéquipier Eduardo Salvio, pour son but lors de la victoire 6-0 face à Estoril en Liga Sagres, en février 2015) et le drapeau du blason du Sport Lisboa e Benfica au second, on souligne que cette équipe est plus qu’un maillot rouge et blanc. C'est une passion, se transmettant de génération en génération dans la capitale portugaise. 

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Un match classique de début de saison (août 2019), une 4e journée de Ligue 1 comme une autre, un samedi soir à 20h. Le FCNA reçoit le MHSCDepuis plus de 50 ans, les ultras comme la Brigade Loire (sur la photo), les Yellow Flight, L'Esprit canari et les Magic Canaris font vibrer la Beaujoire, et font de cette ville un vrai temple de la culture foot à la française. Ils ne sont pas en Ligue des champions, ils ne jouent pas le titre en championnat, mais Messi se souviendra d’être passé ici. Car ici, chaque match est un rendez-vous d’honneur, une communion avec les couleurs jaune et vert. Une fidélité à toute épreuve, qu’importent les hauts et les bas, les relégations ou les saisons sans gloire. Les supporters nantais ont l’art de créer l’atmosphère, de transformer un match en un spectacle unique. La preuve en images. Leurs joueurs l'emporteront 1-0 ce soir-là et le 12ème homme les aura bien aidé. 

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Plus de 110 ans d’histoire séparent les différentes générations de supporters du RC Lens. Ce club, fondé dans une région ouvrière pour distraire les mineurs et créer un lien social, résonne encore aujourd’hui dans toute la ville de Lens. En 1906, Carlos Douterlungne et Jules Joseph Van den Weghe fondent le Racing Club de Lens en lien avec la Compagnie des mines de Lens qui leur prête un terrain. Cette ville, qui a vu beaucoup de vies partir à cause des mines de charbon, pouvait dès lors se raccrocher à ce club, à cette famille. Les supporters que vous voyez derrière les joueurs, leurs pères y étaient, et leurs pères avant eux, et depuis plus de 30 ans, le chant des Corons de Pierre Bachelet est chanté d’une seule voix à la mi-temps par le stade Bollaert-Delelis.

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Un match, de l’ambiance, des buts (2 pour le LOSC), des fautes. En regardant cette photo prise (en 2023) près d'un point de corner, avec une vue en semi-hauteur sur le stade Océane, d'inspiration anglaise, on aurait presque envie de faire une pause, de regarder les détails dans le ciel bleu, avec ses traînées de nuages. Les ombres du stade se reflètent sur le terrain, et une fumée légère plane au-dessus des joueurs. Cette photo est fixe, et pourtant remplie de mouvements, d’ambiance. Cette pause dans le temps nous rappelle de profiter de ces moments, de ces infrastructures gigantesques qui nous accueillent, et qui nous ouvrent leurs toits. Un tableau magnifique.

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Presque aussi savoureux qu'un titre. Une épopée européenne. Une histoire qui restera à jamais gravée dans la mémoire du RC Lens et dans l’esprit des fans d’Arsenal qui avaient fait le déplacement pour la 2ème journée de Ligue des Champions 2023/24. Après un début de match compliqué avec une erreur d'Adrien Thomasson, Gabriel Jesus ouvre le score (0-1). Mais Lens savait que la guerre allait continuer. Quelques minutes plus tard, le fautif Thomasson délivre un stade Bollaert d’une reprise de volée en douceur, offerte d'un subtil bout du pied acrobatique de...Wahi. Le match est tendu, agressif, Arsenal pousse en attaque, et se heurte à un GRAND Brice Samba. Et vient alors la 69ème minute : Elye Wahi offre le deuxième but, enterre les Gunners sous une mine de charbon et provoque un incendie dans Bollaert. C’était le 3 octobre 2023, et le Nord s’en souvient.

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L’attente d’une ville, d’un pays, de l’Europe, pour celui qu'on croit être le prochain Benzema. Formé à l’OL, Ryan Cherki a toujours été un joueur doté de grandes capacités, avec une facilité de dribble, une vision du jeu et une finition impressionnantes. Il était attendu comme l’élu, celui qui allait rétablir l’équilibre en Ligue 1. Sous la pression, face à l'attente immense et aux critiques, aux désespoirs, il a longtemps alterné le chaud et le froid. Mais a aujourd'hui décidé de tout lâcher, à l'image de ses très bonnes prestations avec les Bleuets d'Henry (doublé ce jour-là contre Chypre et victoire 9-0 en éliminatoires de l'Euro 2025 U21). Capitaine de l’équipe de France Espoirs, titulaire indiscutable à l’OL, il montre désormais qu’il n’est pas le prochain Benzema, mais le seul Ryan Cherki

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Encore Ryan. Toujours Ryan. Vous savez pourquoi ? Car on a constaté que c'était sur boutique.so le Top 1 des "recherches sans résultat". Alors on a voulu combler le manque avec non pas une mais deux clichés de Cherki. Précédemment dans la joie, il est ici dans une phase de pure concentration. Durant ce match de préparation aux JO face au Japon, cette équipe de France U21 n'a pas montré sa meilleure version, concédant un nul (1-1). Sur cette image, Cherki donne l’impression qu’il n’a pas le droit à l’erreur, qu’il ne peut pas échouer. Ils auront prouvé quelques mois plus tard que lui et ses coéquipiers ont surmonté les critiques, atteignant la finale des Jeux Olympiques. Finale durant laquelle ils nous auront fait vibrer autant que les grands

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Toutes ces photos sont en édition limitée.
Entre 11 et 30 exemplaires par taille, et par support (papier photo, dibond, plexi)

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