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ATTENTION AU RAFFÛT AVEC NOTRE NOUVELLE COLLECTION PHOTO RUGBY !

C'est la 10ème édition de notre magazine annuel sur le rugby Tampon!, avec Antoine Dupont, nouveau patron du rugby français et mondial, en couverture.


Et comme chaque année, pour l’occasion, nous garnissons de quelques clichés supplémentaires notre collection spéciale ovalie de la boutique (déjà bien garnie). Mais avant de vous les présenter un par un, sachez que vous pouvez l'acheter à l'unité. Ou mieux, que nous vous offrons le magazine. Enfin, nous concoctons des coffrets dans lesquels le nouveau numéro de Tampon est offert en échange de l’achat d’un grand tirage. Visez plutôt.

Alors, prêts à voyager à travers le temps et le monde, de 1951 à 2015, en passant par Dunedin et la Nouvelle-Zélande ?

Les photos

 
« Flexion ». « Liez ». « Jeu » ! Vous voici plongés dans une mêlée. Autour de vous, des troncs de plus de 100 kilos. Les corps s’entremêlent, puis s’entrechoquent. Face à face, Irlandais (en vert) et Italiens (en bleu). Théâtre de cet affrontement, le stade de Dunedin et la coupe du monde de rugby. Date de l’âpre bataille : 2 octobre 2011. A la vue de ce cliché, on ressent presque la poussée et l’adrénaline qui les traverse. Et on imagine l’incroyable force produite par cette créature humaine. Au final, les Irlandais l’emportent 13 à 11. Mais l’essentiel est ailleurs.


Le tournoi des VI Nations ne s’est pas toujours joué à… six nations. Il fut un temps où il se jouait à cinq pays (France, Pays de Galles, Ecosse, Angleterre & Irlande) et s’appelait, en conséquence, tournoi des V Nations. C’était avant 2000 et l’intégration de l’Italie. A cette époque déjà, Français et Gallois se livraient de beaux combats. A l’image du tournoi 1994, où les tenants du titre tricolores et joueurs du XV du Poireau ont proposé au public d’Arms Park un match de haute volée, ponctué par 4 essais. Solidaires sur ce maul où n’apparaît aucun adversaire, les Français emmenés par le robuste Abdelatif Benazzi et toute une génération de solides gaillards doivent ce jour-là s’incliner (24-15) face au futur vainqueur. #passagederelais.


De la demi-finale
Nouvelle Zélande-France 1999, connue comme le « Miracle de Twickenham », subsistent plusieurs images. Le double essai du bus Jonah Lomu (+ de 100 kg qui élimine 13 défenseurs français), le contraste avec les deux ailiers français Christophe Dominici (1,72m pour 85 kg) et Philippe Bernat-Salles (78 kg), le 33-0 infligé par les Français entre la 45ème et la 75ème minute, et les scènes de joie à la fin de ce qui reste encore une des plus grandes surprises de l’histoire du sport (certains bookmakers ne proposaient même pas une victoire des Bleus aux parieurs). L’une d’entre elles est la célébration d’Olivier Magne, mimant un garde-à-vous avec la langue tirée, devant un Philippe Bernat-Salles tout à sa joie affichant le V de la victoire avec ses deux mains.


Il a des raisons de l’être le Philippe, puisque quelques instants plus tôt (75ème minute), il est venu porter le score à 24-43 après un incroyable rush démarré dans les vingt-deux français, consécutif à une perte de balle des All Blacks. Lamaison tape fort à suivre, Magne au duel avec Wilson la prolonge du bout du pied avant que PBS et ses mollets de poulet les dépasse, profite d’un nouveau rebond favorable et aplatisse malgré le retour de Wilson. Le plus beau sur ce cliché, c’est qu’on lit déjà le sourire de l’ailier. Le symbole ultime qu’ « impossible n’est pas français ».

<24 février 1951. Twickenham. Tournoi des V Nations. La France affronte l’Angleterre. Avant le coup d’envoi, on procède à une photo d’équipe. Equipe à laquelle on souhaite aujourd’hui rendre hommage grâce avec ce magnifique cliché en noir & blanc superbement conservé. Gloire donc, de haut en bas et de gauche à droite, à Lucien Mias, Henri Fourès, Pierre Bertrand, René Biénès, Pierre Pascalin, René Bernard, Jean Prat, Alain Porthault, Georges Brun, Guy Basquet, Roger Arcalis, Michel Pomathios, Guy Belletante, André Alvarez et Gérard Dufau. On capte ici tout à la fois l’esprit d’équipe, la camaraderie et la passion qui anime alors ces joueurs amateurs. Le score final ? 11 à 3 pour nos Bleus. Vive la France !

« Pour patauger dans la gadoue, il faut des bottes en caoutchouc », chantait Petula Clark. Elle oublie de préciser que les crampons vissés de rugby représentent une alternative crédible. En témoigne cette photographie prise lors de la finale de la Hospitals Cup de 1981, considérée comme la plus vieille compétition de rugby au monde (elle a débuté en 1874), qui met aux prises six équipes des écoles médicales londoniennes les plus prestigieuses. Ici, sur le terrain de Rosslyn Park à Roehampton, il voit s’affronter les étudiants de St Mary’s Hospital et London Hospital. La finale sera ce jour-là remportée par les premiers, qui comptabilisent aujourd’hui 32 victoires, un record.

Hé oui, encore un cliché en noir et blanc. La photo date de 1966. Et propose une séance d’entraînement de l’équipe australienne. Plus précisément une belle passe en plein vol du demi de mêlée Ken Catchpole, comme suspendu en l’air, devant les poteaux bariolés du terrain planté au milieu du parc municipal londonien de Finsbury. Une autre époque.

Comment finir cette sélection spéciale pour la sortie de Tampon! autrement qu’avec un haka néo-zélandais, danse guerrière maori devenue symbole mondialement connu de la meilleure équipe de rugby au monde ? Mené par le remplaçant Keven Mealamu, il a pour théâtre le quart de finale du Mondial 2015 contre le XV de France au Millenium Stadium de Cardiff. Sur la route qui les amènera au titre suprême pour la 3ème fois, les All Blacks pulvérisent ce jour-là (62-13) les Bleus (qui jouent en rouge pour l’occasion) avec pas moins de neuf essais. On le voit à l’expression du visage de Dan Carter ou Savea juste derrière lui que c’était pas le jour pour les emmerder.

Voilà pour la nouvelle fournée de photographies iconiques de rugby !
Pas mal hein ? Mais cela ne doit pas vous faire oublier les anciennes pépites de notre collection Tampon ! Notamment notre best-seller, l'essai de Christophe Dominici lors de cette même folle demi-finale contres les Blacks en 99, avec Lomu en arrière plan.

Ainsi que la transformation d'un autre pilier de l'équipe de France, des années 70 et 80 cette fois-ci, à savoir Serge Blanco, lors d'un match des V Nations sur les terres irlandaises. Niotez qu'à l'époque il n'existait pas de tee pour maintenir le ballon et qu'il fallait faire un petit trou stabilisateur dans la pelouse....
Toutes ces photographies sont disponibles sur la boutique depuis le 1er mars à 00:01


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