Z DE TOI : Spécial 🎂 50 ans
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Zinedine Zidane a soufflé ses 50 bougies cette semaine. L'occasion était trop belle de rendre hommage au numéro 10 éternel de l'équipe de France avec une compilation des meilleurs souvenirs qu'il nous a laissé, et autant de cadeaux de notre Zizou national pour vous. Encore bon anniversaire Yazid et merci pour tout !
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Les photos
On commence avec la cerise sur l'énorme gâteau que représente la carrière de Zinédine : la coupe du monde 98. Il aura fallu attendre la finale au Stade de France, à la maison, contre le Brésil, pour que le numéro 10 se libère enfin.
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| On peut dire qu'il aura su attendre le meilleur moment avec ce doublé, ses deux coups de têtes (et pas les derniers malheureusement...) pour l'éternité. Ce2ème but, cet instant qui le fait rentrer dans l'histoire du football français, a été immortalisé sous toutes ses coutures et nous vous en proposons sa meilleure version. |
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Comment revenir aux entraînements quotidiens à la Juve alors que vous êtes devenus le sauveur national ? Comme il l'a avoué dans son interview à l'Equipe, le début de saison 1998-1999 est sans doute le plus compliqué. Des performances très moyennes et des jambes qui n'arrivent pas à suivre.
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Cela ne l'empêchera pas de soulever son Ballon d'or au mois de décembre et de devenir officiellement le meilleur joueur du monde. Cette consécration qu'il attendait le relance et le permet de se préparer à l'une des meilleures périodes de sa carrière...
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L’Euro 2000 représente sans doute le summum du Z en termes de qualité de jeu et de leadership. Même le principal l’intéressé, qui est rarement le premier à se mettre en avant, l’admet : il survole les débats et porte les Bleus. Le chemin vers le succès ressemble pourtant à un parcours du combattant avec des mastodontes à affronter pour les champions du monde en titre. Rien que sur les phases à élimination directe, il faut sortir l’Espagne, le Portugal et l’Italie en finale. Zidane se retrouve décisif en quart et en demie. Un coup-franc magique contre Canizares + un penalty qui vaut but en or (que conteste encore Abel Xavier). La France domine le football mondial comme rarement, et tout le monde sait que le leader technique de cette équipe n’est autre que le milieu de terrain, le seul à porter à merveille la calvitie naissante…
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Dernier trophée majeur manquant pour le Marseillais de naissance, la Ligue des Champions. En 2001, après 5 ans à la Juve et deux échecs en finale, il décide donc de tenter sa chance dans le plus grand club du monde : le Real Madrid. Montant du transfert : environ 75 millions. Un record à l’époque, battu par CR7 en 2009. Il faudra attendre une saison pour cela et un geste de classe. Même lui admet n’avoir jamais réussi à le reproduire. En finale, contre le Bayer Leverkussen, le numéro 5 entre dans la légende avec l’une des plus belles réalisations de l’histoire de la compétition. 1-1 entre les deux équipes, un centre de Roberto Carlos en cloche (qui ressemble plus à une chandelle qu’un vrai centre), et là tout s’arrête. La jambe gauche, toujours. Et voilà, une reprise de volée pied gauche en pleine lucarne. Simple.
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En parlant de ces instants inexplicables, en voici un réellement hors du temps. Pour le premier match de cet Euro 2004 au Portugal, l’équipe de France affronte l’Angleterre. Les Anglais mènent rapidement au score, la France et leur nouveau capitaine, Zinédine Zidane, se dirigent vers une première défaite. Mais le numéro 10 sait faire basculer ce genre de rencontres en un instant. 91ème minute : but sur coup franc. 93ème minute : penalty transformé. Victoire 2-1 des Bleus. Cela ne sera pas suffisant pour éviter une sortie prématurée contre l’équipe surprise de Grèce. Mais le plus grand drame aura lieu quelques semaines plus tard, lorsqu’un Zidane, à bout de forces, annonce sa retraite internationale. Il reviendra finalement sur sa décision avec Makélélé en renfort pour une dernière mission : qualifier les Bleus pour le mondial 2006 et remporter une deuxième étoile.
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Nous y sommes. La dernière danse d’un des plus grands joueurs de l’histoire et toute la pression qui l’accompagne. Cette équipe de France vieillissante ne fait pas partie des favoris, et les premiers matchs de poule confirment cela. Deux nuls contre la Suisse et la Corée du Sud, une victoire à l’arrache contre le Togo pour se qualifier. La phase à élimination directe s’annonce compliquée avec l’Espagne en huitième. Adversaire particulièrement moqueur de notre capitaine Zizou, sa presse pense pouvoir l'envoyer à la retraite. Et malgré l’ouverture du score de la Roja, c’est l’élément fraicheur du groupe qui va tout relancer, Franck Ribéry, (bien motivé par le fameux « Vas-y mon petit » de Thierry Gilardi) en éliminant Casillas. 1-1. Le coup de grâce viendra de nos vieux avec un coup de casque de Vieira et un crochet digne des meilleurs toreros pour éviter le taureau Puyol signé de l’astre Zinédine Zidane.
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Le meilleur reste à venir. Un quart de finale contre le Brésil de Ronaldo, Ronaldinho, Kaka et tous les autres. Finalement, c'est un numéro 10 tout de blanc vêtu qui va offrir un match de référence et faire s'incliner la planète foot devant son talent. Roulettes, passements de jambes, crochets et sombrero. Même son pote Ronaldo y passe. Surtout, une passe décisive pour Thierry Henry, la première entre les deux !
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Les Bleus battent le Portugal en demie sur un penalty de Zizou et s’offre une finale de Coupe du Monde contre l’Italie. L’adversaire est de taille et surtout connaît par cœur notre double Z. Alors quand Malouda obtient un penalty, il doit innover pour vaincre Buffon. Nouvel instant magique, le temps qui s’arrête. Une panenka en barre rentrante. L’égalisation italienne va faire rentrer le match à un niveau de tension maximal. Et comme on le disait, cet adversaire connaît bien Zidane. Une provocation de celui dont on ne doit pas prononcer le nom et c’est le drame. « Pas aujourd’hui, pas maintenant, pas après tout ce que tu as fais ». Carton rouge pour un coup de boule sur le double M. La dernière image de Zidane sur un terrain sera donc celle-ci. La vie est cruelle.
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Le coffret
Grâcieux, discret, simple, fougueux, extraterrestre, timide, violent, idolâtré, patriote, brillant, amoureux, présidentiable, aérien, humble, fidèle, clanique, fascinant, apolitique, mutant, meneur, mercantile, travailleur, paternel, stratège, prudent, attachant, généreux, mélancolique, meneur, immortel… Et légendaire.
Zinédine Zidane est tout cela à la fois, mais préfère se taire plutôt que de se définir. Tout le contraire de ce grand et beau livre So Foot qui, à travers des articles inédits et des photographies collector, retrace comme jamais le parcours du fils d’immigré des cités Nord de Marseille devenu plus grand joueur-entraîneur de l’histoire du football mondial. Vous saurez tout sur le Zizou. (Et pourrez même le porter aux pieds).
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Les t-shirts
T-shirt hommage -en quelques dates clés- à la carrière du plus grand joueur puis entraîneur français : Zinédine Zidane. Façon Street Fighter II.
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T-shirt d'un Zizou très jeune, photographié lors d'un shooting au tout début de sa carrière, avec l'AS Cannes. La date exacte : le 1er mars 1991. Epoque où il se faisait encore appelé Yazid.
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Les affiches
Il n'y a pas que des photos sur la boutique. Il y a aussi des posters sérigraphiés. Et notamment celui-là, réalisé par la graphiste maison Elyse Delahaie, sur laquelle on devine bien le terrain lacéré par les Z. Disponible en seulement 30 exemplaires.
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Il n'y a pas que des sérigraphies, il y a aussi des posters de nos couvertures sur la boutique. Et notamment celle du magazine collector des 10 ans de So Foot (paru en juillet 2013) et consacré exclusivement aux numéros 10. Seules deux couvertures différentes ont été tirées. Une avec Platini. L'autre avec...
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Il n'y a pas que des couvertures So Foot. Il y a aussi des affiches qu'on a dessiné pour la boutique. Notamment celle-ci, reprenant le commentaire culte de Thierry Gilardi sur TF1 après le coup de tête de Zinédine Zidane sur Materazzi et le carton rouge en finale du mondial 2006.
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Le mug
On termine avec du petit goodies sans prétention mais terriblement efficace. A savoir une tasse avec une citation. En l'occurrence de Zinédine Zidane, tirée de son interview dans le So Foot spécial 10 ans du magazine : « Moi je n'ai rien demandé ! Je voulais juste être chauffeur livreur ». Sauf qu'il ne s'est pas fait les croisés, heureusement pour nous.
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